Manu&Luna-The Dog Trotter

Mon Tour Du Mont-Blanc Avec Luna 8 Jours D’autonomie À Travers La France 🇫🇷 , L'Italie 🇮🇹 Et La Suisse 🇨🇭

 

Une belle aventure s’annonce

 

Les choses sérieuse commence

 

Quand j’ai songé sérieusement à retenter l’aventure du tour du mont-blanc, il été inconcevable de partir sans Luna. J’ai une symbolique histoire avec ce trek, en effet c’est ici que notre aventure à réellement débuter. Chaque étape même au combien difficile à été pour nous une aventure extraordinaire et c’est pour cela que je voulais partager notre histoire . Dans cet article, Je vais faire en sorte de vous donner des conseils pour vous donner envie de partager ce moment incroyable avec votre compagnon à 4 pattes, de renforcer votre complicité, de toute les étapes qu’il y a à suivre et des erreurs que j’ai pu faire et vous faire part de mon expérience pour les corriger.

Choix du lieu et Préparatifs

 

Été 2023, je voulais absolument après des randonnées à la journée où sur plusieurs jours pouvoir réussir enfin le tour du mont blanc qui m’avait échappé lors de l’été 2019.

Ça faisait presque 1 an avec Luna qu’on se préparait physiquement et mentalement , car il fallait pouvoir encaisser cet aventure sur plusieurs jours. Donc pour notre entraînement, rien d’extraordinaire, ont à juste augmenté les fréquences de marche quotidienne avec en moyenne entre 15 et 20 km par jours à travers notre région de l’Hérault qui regorge de petit coins absolument charmants (qui sera d’ailleurs présenté dans un article prévu à cet effet).

Par la suite, j’ai simplement imaginer un certain poids que je ne voulais pas dépasser sachant que pour ce trek, je n’envisager pas de faire porter les croquettes, ni l’eau à Luna, donc j’ai chargé mon sac à dos avec une moyenne de 10kg durant la seconde partit de la préparation.

Mentalement, je me suis projeter à travers différente recherche comme, le nombre de km et les étapes à faire par jours, comment réagir face à la météo, apprendre à gérer la fatigue en fin de journée où je n’hésitez pas à me mettre dans le dur.

Pour Luna, j’ai du lui faire faire ces vaccins et surtout celui contre la rage, son passeport car il ne faut pas oublier que sur ce trek il faut traverse la France, L’Italie et la Suisse où certaine formalité sont obligatoires .

Pour le matériel , voici la liste que j’ai utilisé pour ce trek qui c’est déroulé sur huit jour

PORTAGE

Sac à Dos : Grégory Paragon 48l

COUCHAGE

Tente MSR Hubba Hubba Nx

Sac de Couchage Thermarest Hyperion 0°c

Matelas Forclaz Mt500 Jaune

VETEMENTS

Doudoune Vertical down jacket

Veste de pluie Salewa Puez Aqua 3 Powertex

1 Caleçon long en mérinos Devold

1 T-shirt en mérinos SuperNatural

1 Paire de chaussette en mérinos Icebreaker

1 Short de running North Face

Chaussure de trail La Sportiva Ultra Raptor 2 taille basse

1 Legging et t-shirt de nuit

CUISINE ET HYDRATATION

Popote toaks titanium 650ml

Réchaud brs 3000t

1 Bouteille de gaz 100 gr

Accessoires : fourchette plastique, paille de fer, briquet, liquide vaisselle

Gourde filtre à eau beefree 1l

Gourde souple de 1l et 1 50cl

NUTRITION

Viande de boeuf déshydratée 1,5Kg

Nouille chinoise 1,5Kg

Café

Barre de protéines

Chocolat, lait en poudre et flocon d’avoine mélangé

Mélange de fruit à coque et fruit sec

Les croquettes pour Luna 3,2Kg ainsi que sa Gamelle rétractable

SÉCUTITÉ ET HYGIÈNE CORPORELLE

Couverture de survie

Trousse à pharmacie

Protection solaire

Crampons petite pointe

Baton de marche Forclaz Mt100

Dentrifrice, Brosse à Dent, Serviette Microfibre et Savon de Marseille

ÉLECTRONIQUE

Frontale

Batterie portable 10000Mah

Samsung A32 5g

Cable Usb C

GoPro

ÉQUIPEMENT POUR LUNA

Baudriers I-dog one

Longe extensible Difac

Harnais canicross Difac

Chausson et vaseline pour les pattes de Luna

Maintenant, je vais vous expliquer les avantages et les inconvénients que j’ai pu y rencontrer


D’abord, j’ai pu plus ou moins atteindre mon objectif qui était d’avoir à porter entre 10KG et 12KG, qui finalement fera entre 14KG et 16KG, puisque suite aux informations concernant la météo, il reste énormément de neige à partir de 1800m, donc il à du que j’achète des crampons pour assurer notre sécurité.

Sinon honnêtement, je suis vraiment satisfait de cet équipement qui à complètement répondu à mes attentes, même si après plus de 8h de marche, ça commencer à sérieusement tirer dans les épaules.

Si je devais changer quelques chose, ce serait peut-être le matelas que j’ai trouvé un peu bruyant, mais aussi un peu léger niveau isolation sur certaines nuit, sinon il à rempli sa tâche.

par contre une des erreurs que j’ai faites et que je déconseille, c’est d’avoir décidé de porté un seul change pour économiser du poids et ça à été vraiment compliqué surtout durant les orages rencontrés sur le trek, donc je dirait qu’il faut au moins emmener 2 change car comme je laver tout les jours, les vêtements étaient parfois complètement mouillés.

Pour mes prochains trek avec Luna, je songe à lui changer son harnais et m’orienter vers un sac de bat pour qu’elle puisse porter une partie de ses croquettes, pour que je soit plus léger.

Planification

 

Place maintenant à faire le tracé.J’ai eu besoin de deux cartes qui sont: la carte IGN 3630 OT Chamonix Massif Du Mont-Blanc et la carte 3531 ET Saint Gervais Des Bains Massif Du Mont-Blanc, où il faut prendre en compte qu’il y à la partie de la réserve naturelle des aiguilles rouge qui est totalement interdite aux chiens même tenus en laisse, donc obliger de contourner le TMB par un itinéraire bis.

Le jour J, Début du TMB

 

Le 19 juin 2023, en début de d’après midi au départ de Montpellier, nous prenions la direction des houches, départ officiel du TMB.

Une fois arrivé au camping de bellevue, il était temps de se reposer et de faire le repérage pour le départ, car nous devions partir très tôt le lendemain pour éviter les grosses chaleurs, mais aussi d’éventuels orages qui arrivent généralement en milieu d’après-midi.

 

Les houches – Le chalet de Miage

 

Après une très bonne nuit, il était temps de ranger le matériel, de déjeuner et de prendre le départ. c’est le coeur avec beaucoup.d’enthousiasme qu’avec Luna nous suivions les pancartes du trek qui sont très bien indiqué, où il est quasiment impossible de se perdre.

Il était aux alentours de 6H30 et ça faisait déjà une bonne heure que nous montions gentiment les différents sentiers en contemplant le spectacle qui s’offrait devant nos yeux.

Et puis, après quelques effort bien fournis, nous arrivons au Col De Voza qui culmine à 1657m et qui annonçait notre direction vers la variante du Col du Tricot.

Après encore de longues heures et les premières rencontres, nous arrivons enfin a notre point culminant à 2120m où une bonne pause s’imposait.

notre premiers jours s’est très bien déroulée, mais les organismes après bien 6 heures de marche commençait à flancher, notre fin d’étapes était en contrebas dans un petit hameau absolument charmant.

Arrivée quelques minutes plus tard, on pouvait enfin soufflé, la journée était terminée pour nous.

L’air de bivouac était un peu plus loin, donc une fois la tente monté, ainsi que toute les affaires nécessaires pour la nuit, ont s’est dirigé vers le chalet et y commander à manger.

Le Chalet de Miage – Les Chapieux

 

5h00, le réveil sonne, il était temps de se préparer car une grosse journée nous attendez, un bon petit s’imposer pour se réveiller les organismes. Pour Luna, ça n’existe pas, même pas le temps d’organiser le sac à dos, quelle m’aboyer dessus pour me demander de me dépêcher.

Les petits sentiers boisés défilés sous nos pieds au rythme de l’air de la montagne, qu’ont en oublierai presque le temps qui passe.

Les Contamines en vue et le temps d’un ravitaillement et nous repartions direction notre objectif principal qui était Le col de La croix du bonhomme.

Après plus de Trois heures de marche, l’orage commençait à s’invitait et nous arrivions à la moitié de notre étape à 2329 m avec le Col du bonhomme et les premiers névés

Une fois la pause déjeuner passer, j’enfiler les crampons et en avant, j’était très concentré car ca glissais énormément et je faisais en sorte que Luna ne tire pour évitait la chute.

Il devait il y avoir bien 800 m de névé quand ont franchi le dernier rocher et atteint le Col de la Croix du bonhomme qui lui culminai à 2433 m.

Autant vous dire que le spectacle en valait largement la chandelle par une telle beauté à perte de vue.

Il ne nous restait plus qu’à rejoindre notre aire de bivouac aux Chapieux, qui s’est dévoilé au bout de 1h30 de marche et heureusement car ont en pouvez plus.

Cette journée se termine par une bonne bière et un plateau de charcuterie en guise de rituel.

Après une bonne lessive et une douche, il était d’aller se coucher et reprendre des forces.

Les Chapieux – Courmayeur

 

Il faisait encore nuit noir quand nous entamions notre journée qui s’annonçait magnifique, non pas par le temps, mais plutôt par le passage de la frontière italienne et de cette partie qui paraît -il est réputé pour être la plus jolie du tour.

Ce matin, ont à du traverser plusieurs torrents qui étaient plus ou moins dangereux car il était impossible de les passer sans avoir les pieds complètement trempés, mais c’est un choix que j’ai préféré opter pour une question de sécurité contrairement à d’autre randonneurs.

Au bout de 2h30 de marche, ça y est, ont à pu atteindre le Col de la Seigne à 2516 m et notre en entrée en Italie.

Que dire à part que c’était absolument magnifique.

Une fois bien rassasié par le spectacle qui s’offrait à nous, il était temps de repartir, malheureusement sour une pluie battante et c’est au bout de 2h supplémentaires qu’on atteint le camping Hobo pour 2 jours, histoire de faire reposer les organismes et faire sécher les affaires.

Emplacement réservé et tente installé qu’il était temps d’aller se doucher et de savourer ce petit moment convivial avec 4 français rencontrés plus tôt dans la journée.

Courmayeur – Refuge Elena

 

Apres la pluie vient le beau. Il était temps de commencer notre périple italien en retournant sur la route du TMB l’esprit chargé à bloc direction Courmayer, qu’on avait visité la veille durant notre jours de repos.

Il était environ 8h30 du matin qu’il faisait déjà très chaud. Petite pause au Refuge bertone et il restait environ 7h00 de marche pour atteindre notre destination qui était le Refuge Elena situé à 2062 m.

En tout cas, je peut dire que cet Parti du trek nous à ébloui par ça beauté époustouflante, on à pu aussi croiser des troupeaux de vache qui étaient impressionnantes mais pas du tout farouche, mais Luna n’était vraiment pas rassuré quand elle se sont mis autour d’elle pour la sentir durant une pause. Elle leur à fait simplement comprendre qu’elle n’était pas à l’aise.

Les sentiers défilés tous plus beau les uns que les autres et la fin de la journée se rapprocher de plus en plus, mais après un court arrêt, il nous restait encore une grosse montée et ont à du dépasser nos limites avec Luna qui je doit dire m’à stupéfait par sa vitalité depuis le début et qui me montre le rythme à prendre.

Le refuge en vue, je suis aller discuter avec le propriétaire et il faut bien l’avouer à était très clair avec moi, je pouvez planter la tente mais c’était à nos risque et périls concernant l’interdiction aux bivouacs en dessous de 2500 m, mais qu’il y autorisait et je l’ai remercié pour son geste car rien ne l’y obligeait.

Malgré un vent glacial, mais une vue splendide, je pense qu’on à passé notre meilleur nuit depuis le début.

Refuge Elena – Champex Lac

 

Départ aux aurores vers le grand col ferret qui pointer juste au dessus de nous à 2536m met donc le passage en suisse. De bon matin ça réveil, mais je me suis dit qu’au moins ont avais fait le plus dur et c’était une erreur, car bien qu’on avait juste à redescendre jusqu’à la fouly, rien ne présagé qu’ont allez vivre étape très difficile, par contre les marmottes étaient bien en place à se parler d’une montagne à l’autre qui rendait Luna sur le qui vive, ça me faisait beaucoup rire et en même trouvez ça trop mignon car elle en pleurait et voulais allez les voir, mais j’ai bien trop de respect par tout ce qui nous entoure, mais aussi pour la règlementation en vigueur qui nous interdit de les laisser en liberté et bien sur pour sa sécurité.

Arrivé à la Fouly et plutôt en avance sur notre étape du jour, on s’est fait un petit restaurant ou l’exigence suisse est mise très en avant.

Il faut savoir qu’en générale sur un trek comme le TMB, les prix sont plutôt cher, mais pour nous français qui allons en suisse ça peu paraître hors budget, mais il faut tenir compte que la vie en Suisse y est plus élevé, donc ont se doit de l’accepter.

Alors effectivement cet partie jusqu’à notre camping était loin d’être la plus intéressante du tour mais au moins ça à pu nous permettre d’y aller plus tranquille et de prendre un peu plus notre temps car la météo était au rendez-vous, un magnifique soleil et un ciel bleu sans nuage révéler toute la vallée sous son plus beau visage.

Nous arrivions ensuite dans la seconde parti de notre étape sur une zone plutôt boisé qui nous offrait une atmosphère douce avec quelque rayon de soleil.

Champex-Lac n’était plus très loin mais avec déjà plus de 8 h dans les jambes, la fatigue commencer à se faire sentir par ces montées qui n’en finissaient plus, et là déception car travaux en cours, il à fallu faire un énorme détour d’au moins 30mn et finalement au bout, la délivrance de l’entrée de la ville.

Il nous fallait maintenant juste traversé l’axe principal et rejoindre notre camping pour la nuit, manger, se doucher et dormir.

Champex Lac – Le Peuty

 

Après une bonne nuit réparatrice, ont avait le choix entre prendre la variante par la fenêtre d’arpète qui était jusqu’à encore quelque jour trop dangereuse pour y accéder par la neige bien trop présente, ou d’emprunter la route normale qui finalement s’avérait bien plus raisonnable surtout que je voulait pas risquer de me blesser mais aussi pour Luna qui malgré sa grande forme pouvait aussi se retrouver en difficulté.

Et oui car l’objectif principal était certes de se dépasser mais il fallait bien sur de ne pas se voir indestructible et partir à la catastrophe, surtout qu’il nous restait encore quelque jours.

La décision était prise, nous partons donc sur la voie normale et comme le hasard fait bien les choses, nous avons pu recroiser un couple avec qui nous avons  passer la soirée à Courmayer et par la même occasion fait la connaissance avec 2 autres français qui aller dans la même direction que nous, à l’air de bivouac de Le Peuty.

Bien que la bonne ambiance régnait au sein de notre petit groupe nouvellement formé, c’est peut-être la seconde partie de cet étape qui m’à le moins plus car ont était en bordure de route et qu’il n’y avait pas grand chose d’intéressant.

Arrivé au Col de la Forclaz à 1527m, il ne nous restait que quelque km pour enfin souffler.

Et c’est en milieu de journée et parmi les premiers arrivés sur places qu’on à pu se relaxer autour d’un bon verre pour célébrer notre rencontre.

Bien que ça soit une aire de bivouac, il fallait comme même s’acquitter de 8 franc suisse pour l’emplacement que je trouvais ça normal puisque dans tout le pays, ça y était interdit, juste le petit bémol de la douche qui était lui aussi payant, mais ce n’était grave, mais juste le temps de 6mn qui selon moi était bien trop court.

Le Peuty – Chossalet

 

Pour cet étape, il n’était pas question de se presser puisque, la veille ont s’étaient bien avancés sur l’objectif du jour à savoir le franchissement du col de la balme, mais aussi le retour en France.

C’était aussi une journée particulière car ont devait se séparer de notre petit groupe car les chiens étaient totalement interdit sur la seconde Parti de notre étape.

Au bout de 2h de marche et une belle monter qui nous à bien mis en jambe, le Col et son refuge se montrait à 2199m sous un brouillard qui commençait à s’épaissir et il fallait se dépêcher car la vue totale sur le Mont-Blanc se dresser fièrement devant nous.

C’était un spectacle extraordinaire et on à eu de la chance car 5mn plus tard, il disparaîtra pour laisser place à une brume épaisse.

Ça y est il était temps de se quitter et de prendre chacun une route différente et c’est surtout pour Luna qui comme à son habitude s’était lié d’amitié avec eux et qui à eu du mal à les voir partir.

Après une mâtiné riche en émotions, ont se dirigé hors du TMB pour rejoindre le balcon nord de la vallée et se diriger vers le camping de chossalet.

Une fois sur place et bien installé, un petit pincement au cœur m’envahissez car la fin de notre trek touchait à ça fin.

Chossalet – Les Houches

 

Aujourd’hui sonnait donc notre retour à notre point de départ. Le départ fu un peu compliqué car j’ai eu du mal à me repérer et ainsi prendre la bonne direction du refuge de la flégère qui allez nous permettre de revenir sur le TMB et continuer sur Plan Praz qui pour moi malgré sa dangerosité est une des plus belle partie de ce tour car à la fois très technique mais aussi par la vue aérienne qui nous faisait sentir tout petit.

Après une journée très ensoleillée et l’eau qui commencer à se raréfier, on aperçoit le téléphérique qui monter jusqu’au sommet du Brévent.

Ont avez 2 choix qui s’offrît à nous, soit prendre le téléphérique , où le rejoindre par le Col du Brévent, mais que ça n’était clairement pas conseillé par cause de névés important.

j’ai décider qu’ont aller pour la dernière journée passer par le col et voir si s’était possible d’y accéder par ce chemin car je m’étais interdit de prendre n’importe quel moyen de transport qui je trouvais dénaturer notre aventure.

Alors je peux le dire, jusqu’à l’ascension du col, je me demandais si finalement je n’avais pas eu tord de risquer de se blesser car ont en pouvez plus, pour la première Luna montrait d’énormes signe de fatigue.

Et ça y est, on à pu le faire, ont était tout en haut à 2197 m, point culminant du Col du Brévent.

Effectivement, autant l’ascension à été selon moi très praticable, mais pour rejoindre le sommet, la j’ai commencé à prendre conscience de la dangerosité et des risques que ça pourrait engendrer.

Même si sa était très dur ont à pu adopter notre rythme de croisière et ainsi avancer tranquillement avec quelques glissade, mais rien d’inquiétant.

Arrivé au bout et donc la dernière partie, je me suis retrouvé face à un élément que je n’avais pas vu quand j’ai fait mon tracé, des échelles.

Là je me suis décomposé car après avoir comme même tenter de trouver une solution pour faire monté Luna, je me suis rendu à l’évidence que c’étaient beaucoup trop dangereux et qu’il fallait faire demi tour malgré nos efforts , mais aussi la fatigue.

Une fois ma décision prise, je m’en suis énormément voulu d’avoir forcé Luna à monté alors qu’une chute à cet hauteur aurait pu lui être fatale.

Il ne nous restait plus qu’à descendre jusqu’au téléphérique et de monter par celui-ci et y entamer notre descente vers les houches qui nous à achever.

Et c’est donc après plus de 11h de marche qu’on aperçu l’arche du TMB signifiant la fin de notre trek.

Pour conclure 

 

Ce qu’on retiendra de cet magnifique aventure qui à duré 8 jours en tout, c’est qu’au delà des beau paysages, des belles rencontres qu’on à pu faire, c’est qu’ont à encore beaucoup à apprendre .

Sinon le conseil que je voudrais vous donner, c’est de surtout bien vous organiser que ce soit pour vous ou votre chien afin de gérer au mieux la sécurité et de surtout respecter ce qui vous entoure et en espérant que le récit de notre aventure à pu vous faire voyager en notre compagnie et qu’il vous à motiver pour réaliser le votre.

Bon TMB à vous.

Retour en haut